Chanson créée en mon honneur par Pascale Gueillet, « Femme Oiseau-Tonnerre » extrait de l’album « Les 13 lunes »

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Pourquoi les stages que je vous propose sont nombreux ?

Non pas que je m’éparpille, mais mon expérience avec les peuples premiers, les transmissions que j’ai reçues directement avec les tribus, me permettent de proposer un choix très vaste de stages ou accompagnements.

Une Femme-Médecines amérindienne est une personne qui a reçu des transmissions, des secrets, des pouvoirs de guérison, des médecines. Au sens amérindien du terme, médecines signifie pouvoirs, pas médicaments. Cela signifie que j’ai reçu par des dons, des transmissions, des intitiations aux pouvoirs de soulager ou guérir par diverses techniques (plantes, huiles essentielles, musique ou par les mains).

Une Femme-Médecines peut être assimilée à une chamane. Mais je n’aime pas ce terme.

Le chamanisme est en vogue actuellement. On trouve de tout, des gens qui font des choses exceptionnelles et d’autres qui font n’importe quoi.

Une chamane ou une Femme-Médecines se sert de ce qui l’entoure, la nature, les énergies, les éléments, les planètes, les plantes, le son, les entités même, pour avoir une réponse efficace à la problématique de son patient. Cela passe très souvent par le corps. Il s’agit d’une thérapie très efficace et sans douleur. Mais attention, une Femme-Médecines n’est pas un médecin et ne doit se substituer à la médecine allopathique. Il s’agit d’un complément.

Qu’est-ce qu’une Femme-Médecines ?

Etre Femme-Médecines, c’est pratiquer un art de vivre et une façon d’être un peu différents.

Tous les jours qui nous sont accordés sur Terre-Mère, nous honorons tout ce qui la compose : les forêts, les arbres, les rivières et les lacs, la nature dans sa globalité. Nous dansons la vie, chantons sous la lune, enlaçons les arbres, respectons toute forme de vie, quelle soit animale, végétale minérale ou humaine, parce qu’ils sont la composante de la roue médecines, celle qui est suivie dans la voie rouge.

Nous sommes reliées en permanence au cycles lunaires et donc à nos cycles de femmes, au féminin sacré mais nous nous relions également au masculin par le soleil, faisant naitre ainsi une force équilibrée au centre même de notre existence.

La musique prend également beaucoup d’importance et le tambour est un allié précieux.

Nous avons une conscience aigüe de l’importance de protéger Terre-Mère des castastrophes imminentes liées à la pollution ou au climat.

J’ai eu également la chance d’être initiée par de grands guérisseurs philippins, directement ou avec des personnes de leurs lignées. Alex Orbito, des descendants de Placido Palitayan, Catharina Barcelona plus récemment. Ce qui m’a donné accès à des techniques de soins exceptionnelles, même si elles ne restent que des compléments et ne se substituent pas à la médecine allopathique traditionnelle.

Enfin, j’ai pu rencontrer des yogis népalais ou tibétains qui m’ont initié aux prêtrises, à la transmission de féminin sacré ou sexualité sacrée, avec des intiations aux principes tantriques notamment ceux de Padmasambhava. J’ai eu l’immense privilège de recevoir les transmissions des 4 principales déïtés : Tara verte (notamment par son éminence Jetsun Kushok Chimey Luding Rimpoche), mais également Médicine Bouddha par Yogi Karma Wangdi, et Padmasambhava et de Shakyamuni par par un rimpoche issu de la Lignée Nyngmapa avec Tensing Dorje Namgyal rimpoche.

Je pratique donc des soins avec ces techniques de Femme-Médecines, en cabinet ou en stages, que je conjugue avec mon savoir de psychologue, victimologue et j’ai créé une technique unique : la psychologie Maïeutico-sensitive®.

J’ai décidé de vivre mon rêve d’enfant : aller rencontrer des Natifs, sur leur sol. La vie et l’univers se sont chargés de m’offrir ce bonheur. Et comme un cadeau n’arrive jamais seul, le nom Médecines : PLUME DE LOUVE m’a été transmis. (Une histoire que je raconte dans mon livre : « Le porteur de Cercles »)

J’ai pu créer des liens extrêmement forts avec des membres d’une petite tribu du Montana : les Crows.

J’ai plusieurs amis qui vivent sur la réserve, mais l’un d’eux m’a permis de raconter son histoire dans un livre, ce qui a fait de moi un écrivain. Ce livre s’appelle : « Le fils de l’Oiseau-Tonnerre » aux Editions Vega/Tredaniel puis « Le Porteur de Cercles » aux éditions La Plume et la Louve

C’est comme cela que je suis devenue écrivain.